C'est drôle JLC parle de l'absence de Glass et moi personne hormis mon père ne me manque.
Est-ce l'absence qui crée ce vide ?
Ma mère me parle pour la première fois de sa mort proche ou lointaine qu'importe.
Elle ose proférer cette parole presque définitive : "quand je serai morte".
Je ne crois pas qu'elle ai dit cela mais plutôt : "après ma mort" . Pourquoi ? pour éviter toute ambiguité ?.
Le "quand" dans la phrase "quand je serai morte" serait-il de trop ? Un hypothèse...un doute..un espoir ?
Après la mort nous somme sûre qu'il n'y a plus rien.
L'absence est assurée. Avant ce n'est pas certain.
Est-ce l'absence qui crée ce vide ?
Ma mère me parle pour la première fois de sa mort proche ou lointaine qu'importe.
Elle ose proférer cette parole presque définitive : "quand je serai morte".
Je ne crois pas qu'elle ai dit cela mais plutôt : "après ma mort" . Pourquoi ? pour éviter toute ambiguité ?.
Le "quand" dans la phrase "quand je serai morte" serait-il de trop ? Un hypothèse...un doute..un espoir ?
Après la mort nous somme sûre qu'il n'y a plus rien.
L'absence est assurée. Avant ce n'est pas certain.